HYDREOS lance deux nouveaux groupes de travail
Groupe de travail « Eau et Energie »
Pour réussir la transition énergétique, appréhender de façon conjointe l’eau et l’énergie est devenu une nécessité. En effet, l’eau est une formidable source d’énergie et permet de produire à la fois de l’électricité et de la chaleur renouvelables et décarbonées. Dans ce cadre HYDREOS lance un nouveau groupe de travail, « Eau et Energie ».
Pour animer cette thématique, Clément BERNARD a rejoint l’équipe du pôle depuis la fin du mois de septembre.
Ce nouveau groupe de travail abordera plusieurs grands secteurs pour lesquels l’eau et l’énergie peuvent être reliées tels que : la récupération et valorisation de chaleur fatale, la géothermie, l’hydroélectricité, la méthanisation, la production d’hydrogène et l’optimisation énergétique de équipements du petit cycle de l’eau.
Pour marquer le lancement du groupe de travail, l’équipe de HYDREOS mènera une consultation auprès des adhérents et de l’ensemble de l’écosystème afin d’identifier les besoins, les compétences clefs ainsi que les parties prenantes à fédérer.
Cette enquête, lancée en février, aboutira à l’organisation d’un événement en juin 2020. Il réunira des collectivités, des industriels, des laboratoires de recherche et l’ensemble des acteurs innovants de la filière de l’eau.
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Groupe de travail « Eaux de bien-être et de loisirs ».
Depuis 2018, HYDREOS souhaite s’investir dans de nouvelles filières dans lesquelles l’eau est un élément essentiel et pour lesquelles de nombreux défis sont encore à relever. Avec son nouveau groupe de travail « Eaux de bien-être et de loisirs », HYDREOS souhaite travailler de manière concrète avec les acteurs des secteurs concernés sur des sujets qui leur sont propres. Que ce soit pour le thermalisme, les piscines/centres aquatiques ou les baignades biologiques, la gestion raisonnée et optimisée de la ressource en eau est primordiale, mais il n’y a pas que l’eau.
A travers ce nouveau groupe de travail HYDREOS traitera des sujets comme la gestion de la ressource en eau, la lutte contre les dépôts et les biofilms, le traitement des boues thermales, la récupération d’énergie, l’enrichissement du contenu de la cure, l’amélioration des process et des outils de soins, l’évaluation du service médical rendu, la mise au point de protocoles d’éducation thérapeutique, mais aussi l’accueil, la prise en charge et le suivi du curiste notamment à travers le volet numérique.
Des ateliers de travail seront d’ailleurs organisés en mars et avril 2020 afin de réfléchir avec l’ensemble des parties prenantes aux solutions à apporter aux problématiques du thermalisme et du bien-être.
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